https://planete-mars.com/wp-content/uploads/2020/06/england-1.png
APM – Association Planète Mars APM – Association Planète Mars
  • MORE
  • Accueil
  • Publications
    • Nouvelles
    • Dossiers
    • Événements passés
      • Tous les événements
      • Simulation AMADEE-18
      • La simulation MDRS 164
      • AMA Reddit du 31/10/15
      • World Space Week et Fête de la Science 2015
      • Simulation AMADEE-15
    • Bulletins Membres
    • Livres
    • FAQ
    • Web-doc Mars Odyssey
  • Chaîne YouTube
  • Wiki missions martiennes habitées
  • Adhésion / Renouvellement
    • Soutenez l’action d’APM / Adhésion
    • L’Association Planète Mars
    • Conseil d’Administration
    • Contact
    • Les Mars Societies
    • Références & liens
    • Mentions Légales
    • Boutique
      • Amazon (livres)
      • Spreadshirt (goodies)
  • Prestations
  • Compte APM
    • Adhérer à l’Association
    • Gérer mon compte
    • Mot de passe perdu
    • Espace membres ↗
  • EMC 2025
  • Menu
    • Accueil
    • Publications
      • Nouvelles
      • Dossiers
      • Événements passés
        • Tous les événements
        • Simulation AMADEE-18
        • La simulation MDRS 164
        • AMA Reddit du 31/10/15
        • World Space Week et Fête de la Science 2015
        • Simulation AMADEE-15
      • Bulletins Membres
      • Livres
      • FAQ
      • Web-doc Mars Odyssey
    • Chaîne YouTube
    • Wiki missions martiennes habitées
    • Adhésion / Renouvellement
      • Soutenez l’action d’APM / Adhésion
      • L’Association Planète Mars
      • Conseil d’Administration
      • Contact
      • Les Mars Societies
      • Références & liens
      • Mentions Légales
      • Boutique
        • Amazon (livres)
        • Spreadshirt (goodies)
    • Prestations
    • Compte APM
      • Adhérer à l’Association
      • Gérer mon compte
      • Mot de passe perdu
      • Espace membres ↗
    • EMC 2025
2
0
article précédent
LES MISÈRES DE HP3
article suivant
Le bulletin n°79 d'avril 2019

EXOMARS : LES PREMIERS RÉSULTATS DE TGO. (16/04/2019)

par Yves Monier le 26 avril 2019

Un article de
Jean Pierre Martin, SAF Vice Président Planétologie, extrait du site : planetastronomy.com , avec son aimable autorisation.


L’ESA vient de publier récemment une information pour la presse résumant les dernières informations produites par l’instrument TGO à bord de l’orbiteur Exomars.

Le point essentiel : il n’y a finalement pas de méthane sur Mars, contrairement aux dernières rumeurs basées sur des mesures de Mars Expres ou de Curiosity.

Je reprends les points forts de ce communiqué de presse :

L’orbiteur d’étude des gaz à l’état de traces (TGO) d’ExoMars, la mission conjointe ESA-Roscosmos, est arrivé en octobre 2016 à proximité de la planète rouge, avant de passer plus d’un an à effectuer un aérofreinage qui lui a permis d’atteindre son orbite scientifique, qui dure deux heures, environ 400km au-dessus de la surface de Mars.

La mission scientifique de TGO a débuté fin avril 2018, à peine deux mois avant le début de la tempête de poussière à l’échelle planétaire qui allait conduire à la fin de la mission du rover Opportunity de la NASA, après 15 années passées à arpenter la surface de Mars.

Les sondes en orbite ont quant à elles profité d’un point de vue unique, et TGO a suivi la formation et le développement de la tempête, et observé la manière dont l’augmentation de la poussière a influé sur la vapeur d’eau contenue dans l’atmosphère, ce qui est important pour comprendre l’histoire de l’eau sur Mars au fil du temps.

Les deux spectromètres embarqués, NOMAD et ACS, ont procédé aux premières mesures haute résolution de l’atmosphère en occultation solaire, en analysant la manière dont la lumière du soleil est absorbée par l’atmosphère afin de révéler l’empreinte chimique de ses ingrédients.

Cela a permis de déterminer la distribution verticale de la vapeur d’eau et de l’eau «semi-lourde» (dont un atome d’hydrogène est remplacé par un atome de deutérium, une forme d’hydrogène avec un neutron supplémentaire) depuis la proximité de la surface martienne et jusqu’à plus de 80 km d’altitude. Les résultats obtenus mettent en évidence l’influence des poussières dans l’atmosphère sur l’eau, ainsi que la fuite d’atomes d’hydrogène dans l’espace.

« Sous les latitudes septentrionales, nous avons observé des phénomènes tels que des nuages de poussière situés à une altitude d’environ 25 à 40 km, qui n’existaient pas auparavant, ainsi que des couches de poussière se déplaçant vers des altitudes plus élevées sous les latitudes méridionales », explique Ann Carine Vandaele, chercheuse principale de l’instrument NOMAD à l’Institut royal d’aéronomie spatiale de Belgique.

« L’augmentation de la vapeur d’eau dans l’atmosphère a été remarquablement rapide, elle s’est faite en quelques jours au début de la tempête, ce qui indique une réaction rapide de l’atmosphère à la tempête de poussière. »

Exploiter la tempête de poussière

Évolution de la tempête de poussière

Les observations sont cohérentes avec les modèles de circulation à l’échelle planétaire. La poussière absorbe les radiations du Soleil, chauffant le gaz environnant et provoquant son expansion, redistribuant à son tour d’autres ingrédients – comme l’eau – sur une plage verticale plus large. Un contraste de température plus élevé s’installe entre les régions équatoriales et polaires, et renforce la circulation atmosphérique. Parallèlement, les températures plus élevées font que moins de nuages de glace d’eau se forment ; en temps normal ils confineraient la vapeur d’eau à des altitudes plus basses.

On voit particulièrement bien l’évolution de la distribution de la vapeur d’eau et de la poussière sur cette illustration.

Les équipes ont également procédé à la première observation simultanée d’eau semi-lourde et de vapeur d’eau, qui a fourni des informations essentielles sur les processus qui contrôlent la quantité d’atomes d’hydrogène et de deutérium qui s’échappent dans l’espace. Cela signifie également que le rapport deutérium sur hydrogène (D/H) peut être dérivé, ce qui est un marqueur important de l’évolution de l’inventaire des ressources en eau sur Mars.

«Nous constatons que l’eau, deutérée ou non, est très sensible à la présence de nuages de glace, qui l’empêche d’atteindre les couches atmosphériques les plus hautes. L’eau a atteint des altitudes beaucoup plus élevées pendant la tempête, » affirme Ann Carine. « C’était prédit de manière théorique par les modèles depuis longtemps, mais c’est la première fois que nous avons pu l’observer. »

Comme le rapport D/H est supposé changer en fonction des saisons et des latitudes, les mesures régionales et saisonnières continues de TGO devraient fournir une preuve supplémentaire des processus en jeu.

Mais ce que l’on attendait surtout c’était les informations sur le méthane.

Le mystère du méthane s’épaissit

Les deux instruments complémentaires ont également commencé leurs mesures des gaz à l‘état de traces dans l’atmosphère martienne. Les gaz à l’état de traces représentent moins de 1% de l’atmosphère en volume et nécessitent des techniques de mesure très précises pour déterminer leurs empreintes chimiques dans la composition. La présence de gaz à l’état de traces est généralement mesurée en «partie par milliard en volume» (ppbv). Ainsi, si on prend l’exemple du stock de méthane de la Terre, soit 1800 ppbv, cela signifie que pour chaque milliard de molécules, 1800 sont du méthane.

Le méthane revêt un intérêt particulier pour les scientifiques qui travaillent sur Mars, car il peut être une signature de la vie, ainsi qu’un indicateur de processus géologiques. Sur Terre, par exemple, 95% du méthane dans l’atmosphère provient de processus biologiques. Puisqu’il peut être détruit par le rayonnement solaire à l’échelle de quelques centaines d’années, toute détection de la molécule à l’époque actuelle implique qu’elle a été libérée relativement récemment – même si le méthane lui-même a pu être produit il y a des millions ou des milliards d’années et être resté emprisonné dans des réservoirs souterrains jusqu’à maintenant. De plus, les gaz à l’état de traces sont quotidiennement mélangés de manière efficace à la surface de la planète ; les modèles de circulation des vents à l’échelle planétaire indiquent que le méthane serait réparti uniformément sur l’ensemble de la planète en quelques mois.

Les signalements de méthane dans l’atmosphère martienne ont fait l’objet de vives discussions, car les détections ont été très sporadiques en termes de lieu et de lieu et frôlaient souvent la limite de détection des instruments. La mission Mars Express de l’ESA a fourni en 2004 l’une des premières mesures en orbite ; elle indiquait à ce moment-là une présence de méthane de l’ordre de 10 ppbv.

Les télescopes basés sur Terre ont également soit signalé l’absence de méthane, soit détecté temporairement des valeurs pouvant aller jusqu’à environ 45 ppbv. Le robot Curiosity de la NASA, qui explore le cratère Gale depuis 2012, a suggéré un niveau de fond de méthane variant avec les saisons entre 0,2 et 0,7 ppbv, avec des pointes plus élevées. Plus récemment, Mars Express a observé un pic de méthane un jour après l’un des relevés les plus élevés de Curiosity.


/

Ce dessin représente les différentes mesures de Méthane sur Mars. Il y en a eu à partir de télescopes terrestres, de Mars Express et de Curiosity dans le cratère Gale. Crédit ESA

.

La recherche de méthane sur Mars menée par TGO

Les nouveaux résultats de TGO fournissent l’analyse à l’échelle planétaire la plus détaillée à ce jour, avec une limite supérieure de 0,05 ppbv, soit 10 à 100 fois moins de méthane que toutes les détections précédemment rapportées. La limite de détection la plus précise, soit 0,012 ppbv, a été atteinte à 3 km d’altitude.

En tant que limite supérieure, 0,05 ppbv correspond encore à l’émission de 500 tonnes de méthane si l’on retient une durée de vie de 300 ans pour la molécule en considérant les seuls processus de destruction atmosphérique, mais dispersé dans toute l’atmosphère, c’est une valeur extrêmement faible.

«Nous avons de belles données de grande précision qui indiquent des signaux d’eau dans la plage où nous nous attendions à voir du méthane, mais nous ne pouvons toutefois que faire état d’une limite supérieure modeste qui suggère une absence globale de méthane», déclare Oleg Korablev, chercheur principal d’ACS, de l’Institut de recherche spatiale de l’Académie des sciences de Russie (Moscou).

«Les mesures haute précision effectuées par TGO semblent être en contradiction avec les détections précédentes; pour réconcilier les différents jeux de données et faire correspondre la transition rapide des panaches précédemment signalés au niveau de fond apparemment très faible, nous devons trouver ce qui détruit efficacement le méthane près de la surface de la planète. »

«La question de la présence de méthane et de sa provenance potentielle a suscité beaucoup de débats, et la question de savoir où il va et avec quelle rapidité il peut disparaître est tout aussi intéressante, » déclare Håkan.

« Nous n’avons pas encore toutes les pièces du puzzle et nous n’avons pas encore de vue d’ensemble, mais c’est pour cette raison que nous sommes là avec TGO ; faire une analyse détaillée de la planète avec les meilleurs instruments dont nous disposons, afin de mieux comprendre le degré d’activité, géologique ou biologique, de cette planète. »

Les mesures clés du méthane sur Mars

La meilleure carte de l’eau présente à faible profondeur

Alors que se poursuit le débat animé sur la nature et la présence de méthane, une chose est sûre : l’eau a existé sur Mars, et s’y trouve encore sous forme de glace d’eau ou de minéraux hydratés. Et là où il y a eu de l’eau, il pourrait également y avoir eu de la vie.

Afin d’aider à comprendre l’emplacement et l’histoire de l’eau à la surface de Mars, FREND, le détecteur à neutrons de TGO, cartographie la distribution de l’hydrogène dans le premier mètre sous la surface de la planète. Puisqu’il est l’un des principaux composants de la molécule d’eau, l’hydrogène indique la présence d’eau. Il peut également indiquer de l’eau qui a été absorbée par la surface, ou des minéraux qui se sont formés en présence d’eau. 

Cette tâche de cartographie de la surface va durer une année martienne environ, presque deux années terrestres, afin de produire les meilleures statistiques en vue de générer une carte de la meilleure qualité possible. Les premières cartes présentées, produites à partir de quelques mois de données, dépassent déjà la résolution des mesures précédentes.

Distribution de l’eau présente à faible profondeur sur Mars

“En seulement 131 jours, l’instrument avait déjà permis de produire une carte à plus haute résolution que les données collectées depuis 16 ans par son prédécesseur embarqué sur Mars Odyssey de la NASA – et elle va continuer à s’améliorer, » explique Igor Mitrofanov, chercheur principal de l’instrument FREND, de l’Institut de recherche spatiale de l’Académie des sciences de Russie (Moscou).

Outre le pergélisol évidemment riche en eau des régions polaires, la nouvelle carte fournit des détails plus affinés de régions «humides» et «sèches». Elle met également en évidence les matériaux riches en eau dans les régions équatoriales qui peuvent indiquer la présence de pergélisol riche en eau à l’époque actuelle, ou les anciens emplacements des pôles de la planète dans le passé.

“Les données s’améliorent en permanence et nous aurons à terme les données de référence pour cartographier les minéraux riches en eaux situés à faible profondeur sur Mars, qui sont cruciaux pour comprendre l’évolution de Mars et où se trouve toute l’eau à présent, » ajoute Igor. « C’est important pour la science martienne, et également pour des explorations futures de Mars. »

« Nous profitions déjà de belles images et vues en stéréo de Mars grâce au système d’imagerie de TGO, et nous sommes ravis de pouvoir à présent partager un premier regard sur les données issues des autres instruments, » conclut Håkan.

« Nous avons un bel avenir devant nous : nous allons pouvoir contribuer à de nombreux aspects de la science martienne, depuis la distribution de l’eau sous la surface aux mystères de l’atmosphère martienne en passant par les processus actifs à la surface. »

POUR ALLER PLUS LOIN :

Il n’y a finalement pas de méthane dans l’atmosphère de Mars article de l’Express

Martian methane mystery: First results from the ExoMars Trace Gas Orbiter

Premiers résultats pour l’ExoMars Trace Gas Orbiter du CNRS

Le communiqué de presse en pdf.

ExoMarsméthaneTGO
ExoMars, méthane, TGO
Au sujet de l'auteur
Yves Monier
Avatar photo
Ingénieur Chimiste CPE/ESCIL. DEA d'Aérothermochimie. Son mémoire du DESS de Maîtrise des armements et Désarmement en 2004 portait sur les prémices du Tiers-Espace (Japon, Chine, Israël, Inde, Brésil). Yves est passionné d'astronautique et d'exploration spatiale depuis 1963. Ancien du Cosmos Club de France, il est membre d'APM depuis 2003, et administrateur depuis 2013. Il est également membre de plusieurs associations spécialisées. Yves s’intéresse aussi à la planétologie, à l'exobiologie et à l'astronomie.
Articles reliés
ExoMarsméthaneTGO
 

EXOMARS TGO découvre un nouveau gaz dans l’atmosphère martienne

par Yves Monier le 21 février 2021
 

NOUVEAU SOUCI POUR EXOMARS

par Yves Monier le 13 mars 2020
Après les tribulations de la sonde Insight avec l’instrument HP3 qui avait  dû interrompre son forage avec la taupe, il y a une année dans Elysium Planitia, (voir le bulletin n°82 page 4) c’est au tour de la [...]
 

Donnez un nom au rover martien de l’Europe!

par Boris Segret le 7 octobre 2018
La mission ExoMars de l’ESA se compose d’un satellite en orbite, déjà sur place et pleinement opérationnel, et d’un rover qui doit arriver au printemps 2021. L’ESA et l’agence [...]
 

Auriol: journée « A la rencontre de l’espace » 2018

par Patrick Sibon le 18 septembre 2018
Association Planète-Mars -APM- était présente à la journée Rencontre de l’Espace d’Auriol, comme chaque année. Cela fait 13 ans que cette journée est menée par la Mairie d’Auriol et l’équipe [...]
Commentaires
Déposez un commentaire

Déposez un commentaire
Annuler la réponse

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.

Devenir membre

Vous souhaitez devenir membre ou renouveler votre adhésion pour accéder à davantage de contenu? Cliquez ci !

Derniers Articles
 
17 juin 2025
Les taïkonautes à la conquête de l’espace : le programme spatial habité chinois
par APM Association Planète Mars
 
1 mai 2025
European Mars Conference 2025
par APM Association Planète Mars
 
15 avril 2025
Bulletin 101, avril 2025
par Jean Marc Salotti
 
15 avril 2025
Éditorial du bulletin n°101, avril 2025
par Jean Marc Salotti
 
15 avril 2025
Propulsion nucléaire thermique pour le voyage vers Mars
par Jean Marc Salotti
AMADEE-15 AMADEE-18 Association atmosphère CNES Colonisation Conférence Curiosity ESA ExoMars F-MARS Habitat HI-SEAS 4 InSight L'homme sur Mars Lanceurs le voyage vers Mars Mars Mars500 Mars Colonization Transport Mars Express Mars Science Laboratory Mars Society MAVEN MCT MDRS MDRS 143 MDRS 148 MDRS 151 MDRS 164 MDRS 175 Minéralogie MRO nasa Opportunity Phobos Phobos Grunt Radiations Rover scaphandre schiaparelli Simulation simulations spaceX vie
Soutenez l’action d’APM !

Mars vous intéresse et vous souhaitez soutenir notre action ? Cliquez ici !

Posez vos questions

Vous avez des questions sur des sujets en relation avec Mars ? Des experts vous répondent, cliquez ici !

RSS RSS
APM in English

Check out our English section for content in English language.

TENDANCES
   
 
Vie de l’association, janvier à mars 2025
244
 
Bulletin n°98, juillet 2024
203
 
Wiki missions martiennes habitées
183
 
European Mars Conference 2025
165
 
Éditorial du bulletin n°98, juillet 2024
157
 
Bulletin 100, janvier 2025
143
 
IDEFIX à la conquête de Phobos !
136
 
Le rêve martien est de retour – voici comment le réaliser
132
 
Nouvelles de l’association, avril juin 2024
131
 
Bulletin n°99, octobre 2024
128
© Association Planète Mars 2014-2015
Mentions Légales
Nous utilisons des cookies pour mesurer la fréquentation de notre site web.
PersonnaliserAccepterRefuser
Manage consent

Privacy Overview

This website uses cookies to improve your experience while you navigate through the website. Out of these, the cookies that are categorized as necessary are stored on your browser as they are essential for the working of basic functionalities of the website. We also use third-party cookies that help us analyze and understand how you use this website. These cookies will be stored in your browser only with your consent. You also have the option to opt-out of these cookies. But opting out of some of these cookies may affect your browsing experience.
Necessary
Toujours activé
Necessary cookies are absolutely essential for the website to function properly. These cookies ensure basic functionalities and security features of the website, anonymously.
CookieDuréeDescription
cookielawinfo-checbox-analytics11 monthsThis cookie is set by GDPR Cookie Consent plugin. The cookie is used to store the user consent for the cookies in the category "Analytics".
cookielawinfo-checbox-functional11 monthsThe cookie is set by GDPR cookie consent to record the user consent for the cookies in the category "Functional".
cookielawinfo-checbox-others11 monthsThis cookie is set by GDPR Cookie Consent plugin. The cookie is used to store the user consent for the cookies in the category "Other.
cookielawinfo-checkbox-necessary11 monthsThis cookie is set by GDPR Cookie Consent plugin. The cookies is used to store the user consent for the cookies in the category "Necessary".
cookielawinfo-checkbox-performance11 monthsThis cookie is set by GDPR Cookie Consent plugin. The cookie is used to store the user consent for the cookies in the category "Performance".
viewed_cookie_policy11 monthsThe cookie is set by the GDPR Cookie Consent plugin and is used to store whether or not user has consented to the use of cookies. It does not store any personal data.
Functional
Functional cookies help to perform certain functionalities like sharing the content of the website on social media platforms, collect feedbacks, and other third-party features.
Performance
Performance cookies are used to understand and analyze the key performance indexes of the website which helps in delivering a better user experience for the visitors.
Analytics
Analytical cookies are used to understand how visitors interact with the website. These cookies help provide information on metrics the number of visitors, bounce rate, traffic source, etc.
Advertisement
Advertisement cookies are used to provide visitors with relevant ads and marketing campaigns. These cookies track visitors across websites and collect information to provide customized ads.
Others
Other uncategorized cookies are those that are being analyzed and have not been classified into a category as yet.
Enregistrer & appliquer
Propulsé par CookieYes Logo