Dans le pavillon ESA une maquette du vaisseau Orion dans sa nouvelle configuration avec module de service européen dérivé de l’ATV était présentée accompagnée du commentaire « Coopération internationale au-delà de l’orbite terrestre » situé sous une image de Mars.
Orion (en haut) et son module de service européen dérivé de l’ATV (en bas). Le premier vaisseau habité depuis Apollo destiné à opérer au-delà de l’orbite terrestre basse.
La mission Mars Express, toujours en cours, vient de fêter ses 10 ans car le lancement vers Mars était intervenu le 2 juin 2003, pour une mise en orbite réalisée le 25 décembre de la même année.
Mars Express : plus de 10 ans maintenant depuis le lancement
Une représentation (altitudes très amplifiées) de l’épaisseur de glace d’une calotte polaire mesurée par le radar Marsis de Mars Express
L’instrument OMEGA de l’équipe de Jean-Pierre Bibring, en identifiant les minéraux, a permis de réécrire l’histoire de Mars
La mission ExoMars était illustrée par 3 maquettes, celle de l’orbiteur de la mission 2016, de l’atterrisseur de la même mission 2016 et du rover de la mission 2018.
Le public devant la zone Mars le vendredi 21 juin
L’orbiter de la mission 2016 à l’échelle 1/10 ème au dessus de la portion de sol martien reconstitué
A droite la maquette à l’échelle ¼ du démonstrateur d’entrée et atterrissage de la mission 2016 avec, un peu à sa gauche une photo de ce démonstrateur en essais à l’ESA ESTEC. Au premier plan sur le sol, une maquette à l’échelle ¼ du rover de la mission 2018.
Le démonstrateur d’entrée et atterrissage avec deux des trois groupes de 3 moteurs de freinage visibles en périphérie
Sous le module, les radars d’atterrissage
Le rover de la mission 2018 à l’échelle ¼ avec son mat support caméra, ses panneaux solaires et, à l’avant, le cylindre du système de forage en position forage.
Une maquette fonctionnelle de rover en essais sur un terrain martien simulé
Franchissement d’obstacle : petite dune à gauche, cailloux à droite
Images d’essais du dispositif de traitement des échantillons : les échantillons de sol prélevé sont conduits vers les analyseurs
La poudre de sol est aplanie pour observation et analyse
Les tubes réceptacles des échantillons
Le stand de l’Agence Spatiale Italienne (ASI) présentait une maquette en éclaté du système de forage à coté d’une maquette du module de descente du rover. Le suystème de forage capable de creuser jusqu’à 2 m a té dévelopé par la société SelexES, filiale de Finmeccanica, initialement dans le cadre du programme général d’exploration Aurora. Le système comprend un imageur multispectral dans le visible et l’infra rouge, le MA_MISS, qui pourra analyser les parois du trou creusé.
Mars en vedette sur le stand ASI, avec, au centre, la maquette du module de descente du rover et à droite la maquette du système de forage.
La séquence d’entrée et descente du rover 2018 et le rappel des responsabilités de Thalès Alenia Space dans le programme ExoMars. L’orbiter 2016 est développé par Thales Alenia Cannes tandis que le démonstrateur d’entrée et d’atterrissage est développé par Thales Alenia Italie.
Le système de forage est capable de mettre bout à bout en automatique des cylindres de 50 cm pour creuser jusqu’à 2 m.
Le pavillon Thalès présentait aussi, bien entendu, les maquettes des matériels des missions ExoMars 2016 et 2018
L’exploration et Mars étaient aussi le thème de l’une des zones du pavillon du CNES.
Pavillon CNES : projection murale d’images sur l’exploration dont la mission Curiosity
Maquette de Curiosity à gauche (et de l’atterrisseur Philae de la mission Rosetta à droite qui doit se poser sur la comète Churiumov Gerasimenko l’année prochaine) avec projection d’images Curiosity au dessus.
Indications sur la participation française au programme Curiosity à gauche et, à droite, le rôle de la France dans la future mission InSight : la fourniture par l’Institut de Physique du Globe de Paris du sismomètre SEIS
Sur le stand du DLR sont présentées des vues 3D prises par la sonde européenne Mars Express
(Docs. A. Souchier)