Dernière position affichée de Curiosity le 1 er décembre, au 1891 ème jour martien de ses opérations sur la planète. Il a parcouru un peu plus de 18 km. (Doc. NASA/JPL-Caltech/ Univ. of Arizona) Curiosity a presque traversé la bande claire de 400 m de Vera Rubin Ridge (encadré à gauche) sur fond de vue de détail de sa position au sol 1891, le 1er décembre. (Doc. NASA/JPL-Caltech/Univ. of Arizona) Vue par la Hazcam avant le même jour, en direction des remparts du cratère Gale à droite (et en particulier du cratère « splotch » de 7 km ) (doc. NASA/JPL-Caltech) Vue par la Hazcam arrière le même jour. Vera Rubin Ridge domine l’arène du cratère Gale, jusqu’aux remparts. A droite on voit une partie de la montagne centrale « Mont Sharp ». (Doc. NASA/JPL-Caltech) Vue de détail par la caméra Mahli le 4 décembre (doc. NASA/JPL-Caltech/MSSS) Assemblage d’images Chemcam du 3 décembre (doc. NASA/JPL-Caltech/LANL) Autre image Chemcam du 3 décembre : zoom sur une fissure blanche (doc. NASA/JPL-Caltech/LANL)
En novembre 2017, l’ESA a conduit une campagne d’expérimentation sur le terrain de technologies d’exploration planétaire aux Canaries à Lanzarote. Ces expérimentations ont porté sur des outils type Apollo des années 70 comme sur des moyens beaucoup plus modernes permettant l’identification ADN de microorganismes en temps réel, la cartographie 3D des vides souterrains, et bien sûr l’utilisation d’un petit rover explorateur. La description des expériences effectuées et technologies testées figure ci-après (anglais) : http://esamultimedia.esa.int/docs/HRE/PANGAEA-X2017-Experiment_Summary.pdf La campagne, désignée Pangea-X a duré du 19 au 24 novembre, a impliqué 50 personnes de 4 agences et 18 organisations et s’est déroulée sur 18 sites. Bien sûr, l’exploration de tubes de lave était au programme. A l’entrée d’un tube de lave (doc.ESA/R. Shone) L’astronaute Samantha Cristoforetti effectuant des prélèvements dans un tube de lave (doc. ESA/R. Shone) Prélèvements (doc. ESA/R. Shone) Prélèvements (doc. ESA/R. [...]
Mars Express a pris cette vue de Sirenum Fossae le 5 mars 2017 lors de sa 16880 ème orbite (!). L’image originale offre une résolution de 14 m/pixel. Elle est centrée sur 28° Sud et 215 ° Est et située à 1800 km au Sud Ouest de la zone volcanique de Tharsis, le gonflement de Tharsis ayant eu des effets jusqu’à cette distance, créant ces fractures. Fractures dans Sirenum Fossae. Le Nord est à droite. Le trait blanc de 20 km en bas à droite donne l’échelle. Fractures dans Sirenum Fossae en perspective. Le Nord est à gauche. Localisation de l’image (Nord en haut) Image colorée en altitudes. La partie centrale de la fracture est un fossé d’effondrement (« Graben »). Il faut retourner cette image pour avoir un angle de vue proche de la perspective en 3D. D’après le code couleur des altitudes le fond du Graben est en décrochement de 500 m environ par rapport au terrain environnant. La trace d’un éboulement ancien, sur un front de 12 km, mélange de Terre et de glace ? De discrètes vallées d’écoulement sont [...]
Le nouveau vaisseau US Orion destiné à des missions interplanétaires, et en particulier du retour vers la Terre des missions martiennes, avait fait un vol d’essai le 5 décembre 2014, lancé par une Delta Heavy. Mais lors de ce vol, il ne disposait pas du module de service opérationnel qui est de fourniture européenne. Lors de la première mission encore inhabitée d’Orion, qui verra le lanceur lourd SLS envoyer le vaisseau vers la Lune pour un vol de qualification, le module de service européen sera de la partie. Ce vol semble avoir malheureusement glissé de fin 2019 à début 2020. Le module de service est en cours de montage dans l’établissement Airbus de Brême, et les travaux sur le deuxième module pour une mission qui emportera des astronautes sont en cours. Le module de service fournit au vaisseau et à l’équipage l’électricité, l’eau, l’oxygène, l’azote et la propulsion (réservoirs, moteurs d’orientation, moteurs principaux). Le premier module de service européen destiné au vol EM-1, en intégration à [...]
Vue de la Hazcam avant vers un Mont Sharp aux allures de Fuji Yama enneigé (doc. NASA/JPL-Caltech) Vue par la Hazcam arrière le 13 novembre, vers l’arène du cratère Gale que Curiosity domine toujours depuis sa position sur Vera Rubin Ridge. Au font les remparts du cratère. Vers la gauche l’arène est une zone envisagée d’atterrissage pour les premières missions humaines. (Doc. NASA/JPL-Caltech) Image ChemCam du 11 novembre montrant des petits cailloux assez nettement arrondis. Par quel phénomène d’érosion ? (Doc. NASA/JPL-Caltech/LANL) Images ChemCam du 11 novembre (doc. NASA/JPL-Caltech/LANL/Montage APM) Images ChemCam du 11 novembre. Ce caillou aparaît comme poli. (Doc. NASA/JPL-Caltech/LANL/Montage APM) Images ChemCam du 11 novembre. Remarquer les petits trous des impacts de l’analyseur laser, y compris dans la fissure où les minéraux blancs sont vraisemblablement du sulfate de calcium. (Doc. NASA/JPL-Caltech/LANL/Montage APM) Image de la MastCam du 11 novembre (doc. NASA/JPL-Caltech/MSSS) Image de la [...]
La NASA va entreprendre une série de missions de simulation de voyages interplanétaires dans les installations de l’IBMP de Moscou, où se sont déroulées aussi les simulations allant jusqu’à Mars 500 (520 j en fait), il y a quelques années. Le logo de la mission (doc. NASA) La première mission va commencer le 7 novembre et durer 17 jours. Elle a pour but d’identifier les capacités des installations russes. Une mission de 4 mois est prévue en 2018, une de 8 mois en 2019, une de 12 mois en 2020. L’équipage Sirius 17 comprend 6 personnes. Plus de 40 expériences sont au programme. Les installations de simulation de l’IBMP à Moscou (doc. IBMP) Lien vers l’article NASA (anglais) : NASA is « SIRIOUS » About Its Analog Missions